Photographe de mariage et de reportage, j’éprouve également beaucoup de plaisir à pratiquer la photo animalière, la macrophotographie, la photo de rue ou la photo de voyage.
La photo animalière nécessite l’utilisation de rafales rapides afin de saisir le moment décisif, tandis que la photo de paysage impose parfois l’usage du bracketing pour réussir une exposition difficile ou la réalisation de plusieurs clichés destinés à la réalisation d’une photo panoramique. De cette profusion de pixels, résulte un nombre d’images annuel très important (de l’ordre de 30 000 à 40 000 photos et parfois plus). Cela explique pourquoi je ne parle plus de gigaoctets mais de téraoctets lorsqu’il s’agit d’acheter un nouveau disque dur.
Mais c’est fini ! Aujourd’hui, j’ai décidé de réduire considérablement mes besoins en matière de stockage de photographies. Comment ? Je vous livre ici un dossier complet sur la méthode que j’utilise pour réduire mes besoins en stockage.
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