Si, comme moi, vous avez la chance de posséder un Sony RX10 IV, ou la version III pourvue de la même optique, l’astuce livrée dans cet article pourrait vous intéresser.
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Si, comme moi, vous avez la chance de posséder un Sony RX10 IV, ou la version III pourvue de la même optique, l’astuce livrée dans cet article pourrait vous intéresser.
Lire la suiteLe 20 juillet 2018, je publiais sur ce blog l’article suivant : Sony RX10 IV le bridge de tous les records. Dans ce post, je précisais que la dernière itération du RX10 battait plusieurs records du monde ; meilleure optique 24-600 f/4 du marché (signée Zeiss), meilleure rafale pour un bridge à 24 images par seconde (tout en conservant la mise au point et la mesure de l’exposition sur chaque image), meilleur autofocus pour un bridge (3 centièmes de seconde pour faire le point). Enfin, et c’est beaucoup moins glorieux, le RX10 IV parvenait, dans le même temps, à être le bridge le plus cher jamais conçu…
Aujourd’hui, je peux affirmer que ce bridge a battu un autre record, puisque l’article qui lui est dédié sur ce blog, reste le plus lu de tous les articles publiés sur émotions-numériques à ce jour. D’ailleurs, Google ne s’y est pas trompé puisque les requêtes « Test terrain Sony RX10 IV« , « Voyage avec Sony RX10 IV » ou encore « Essai du Sony RX10 IV » permettent de classer l’article dans les 2 premières positions sur le moteur de recherche.
Certains boîtiers ont fait beaucoup parler d’eux à leur sortie. C’est le cas de ce Sony RX 10 mark III. Un boîtier doté d’un zoom très performant, d’une très bonne réactivité et de la vidéo 4K.
À 1600 euros, prix de lancement, les ardeurs des photographes qui le voyaient déjà dans leur sac ont été immédiatement calmées… Mais le temps à fait son œuvre et le prix du boîtier est devenu plus convenable (aujourd’hui, entre 1000 et 1200 euros pour un produit neuf). Avec cette baisse de tarif, ce boîtier que l’on avait un peu oublié, devient une excellente affaire.
Lire la suitePendant de longues années, les fabricants de bridges ont produit des appareils de qualité « douteuse ». Un zoom énorme permettant de tout faire et un prix relativement bas suffisaient à assurer les ventes.
En 2013, les choses ont changées. Sony avec son RX 10 et, 10 mois plus tard, Panasonic avec le FZ1000 ont décidé de s’attaquer au marché des photographes experts et semi-pro, en proposant des bridges haut de gamme. La recette : un boîtier expert proposant de nombreux raccourcis, un autofocus très réactif, un viseur très correct mais surtout un très bon objectif et un grand capteur de 1 pouce.