Nikon vient de mettre en place une nouvelle plateforme de sauvegarde pour ses utilisateurs, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle s’annonce comme très intéressante. Mais à quoi sert t’elle ? À qui s’adresse t’elle ? C’est ce que je vous propose de découvrir dans ce nouvel article.
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À lire avant de personnaliser votre boîtier : ces réglages sont les miens. Ils correspondent pleinement à ma pratique de la photographie et ne sont peut-être pas tous adaptés à la vôtre. Avant de modifier un réglage par défaut (réglage d’usine), assurez-vous de bien comprendre le changement que vous vous apprêtez à opérer. Si vous avez le moindre doute, consultez la notice d’utilisation du Z6 III en ligne. C’est par ici : https://onlinemanual.nikonimglib.com/z6III/fr/
À propos des réglages ci-dessous : les réglages conseillés ci-dessous sont ceux que j’utilisent quotidiennement. Des modifications seront sans doute effectuées dans l’avenir, lorsque j’aurai une connaissance encore plus pointue du boîtier, mais pour l’instant, et après plusieurs milliers de photos vous pouvez vous reposer sur les réglages ci-dessous, car ils sont tous logiques et aucun d’eux n’est incongru.
Cet article commence par les paramètres généraux, c’est-à-dire ceux qui restent valables dans les situations habituelles, puis il aborde les réglages spécifiques à la photo de mariage ou de portrait, la photo animalière ou de sport, la photo de paysage sur trépied, la photo de la voie lactée (pour ceux qui aiment avoir la tête dans les étoiles) et enfin la photo immobilière. Bonne lecture !
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Lors de mon dernier post concernant la sortie du Nikon Z6 III, je me suis contenté de vous donner mon ressenti, basé sur les caractéristiques de ce nouveau boîtier dont je ne disposais pas encore. Aujourd’hui, je vous propose un test terrain complet et détaillé du Nikon Z6 III. Décliné en plusieurs parties, il vous offrira des informations précieuses basées sur des tests approfondis en situation réelle et des comparaisons avec d’autres modèles.
Avant d’aller plus loin, sachez que le boîtier testé m’appartient (oui, je l’ai acheté) et que je ne n’ai conclu aucun contrat de partenariat avec la marque ou un quelconque réseau de vente. Voici donc un test réalisé « sans arrière-pensée » et avec une totale indépendance.
Pour ce premier opus, j’ai choisi de vous parler de certaines particularités, généralement absentes des tests proposés, ici ou là, sur Internet. Ainsi, vous bénéficierez d’une information encore plus complète lorsque viendra le moment de vous parler du Z6 III, de ses réglages et son utilisation en conditions réelles.
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Avant toute chose, ne comptez pas sur cet article pour vous fournir les « specs » complètes du Z6 III, le site du fabricant vous fournira toutes les informations voulues. Dans ce premier billet dédié à la découverte de ce nouveau boîtier, je vais me contenter de vous donner un premier avis sur celui, qui, j’en suis certain, va plaire à beaucoup, mais alors beaucoup… de photographes et de vidéastes.
Après le fabuleux Nikon Z9, le merveilleux Z8, et disons-le, le très sympathique ZF, Nikon frappe encore un grand coup avec cette troisième version du Z6. Aujourd’hui, je pense qu’il est inutile de chercher un second boîtier hybride qui offre autant de possibilités à ce niveau de prix. Cela n’existe pas !
Continuer à lire « Nikon Z6 III : faisons connaissance avec le dernier né de chez Nikon ! »
Aujourd’hui, j’ai choisi de « décortiquer » le boîtier qui, pour moi, représente le Graal dans la famille des APS-C : j’ai nommé le Canon EOS R7. Pourquoi ? Parce qu’il coche toutes les cases de ce que l’on est en droit d’attendre d’un boîtier si l’on pratique la photo de sport ou la photo animalière. Léger et pas cher, le Canon EOS R7 possède un capteur stabilisé, un autofocus très performant, des modes AF complets, une rafale à 30 images par seconde, une définition de 32,5 millions de pixels, un viseur confortable et une tropicalisation lui permettant d’affronter des conditions météo dégradées. Des dispositions qui lui permettent de fréquenter le bord des stades ou des pistes, mais aussi la forêt, la savane ou les zones humides.
Si vous aimez photographier le sport ou le monde animal, ce boîtier expert est fait pour vous. Pourquoi ? C’est ce que nous allons voir dans cet article.
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« Prenez un EOS R6. Ajoutez 4 Mpix à son capteur, doublez sa rafale et améliorez un peu sa dissipation thermique et vous obtenez un EOS R6 Mark II… ». Voilà comment est présenté le R6 II sur une majorité de sites web.
Disons-le tout de suite, je ne suis pas tout à fait d’accord avec cette présentation, plutôt réductrice, du nouveau Canon EOS R6, car sa mise à jour apporte bien plus que ce qui est dit plus haut. Avec ce R6 Mark II, Canon a fait du très bon travail et, pour vous en convaincre, nous allons entrer dans les détails.
Continuer à lire « Canon EOS R6 mark II : une mise à jour bien plus intéressante qu’il n’y paraît ! »
DxO vient de lancer la deuxième version de son logiciel PureRAW, qui propose des outils très performants pour faciliter le traitement et l’amélioration des fichiers RAW.
Comme l’application PureRAW originale, DxO PureRAW 2 n’est pas un éditeur de photographies complet, comme peuvent l’être Lightroom ou Capture One ; au lieu de cela, le programme se limite à une série de modifications automatiques que vous pouvez appliquer avant – ou pendant – votre flux de travail.
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Comme promis, voici une présentation et un test du troisième logiciel de Topaz Labs, j’ai nommé Gigapixel AI. Ce logiciel permet d’augmenter significativement la résolution d’une image, c’est-à-dire son nombre de pixels. Pour ceux qui se demanderaient encore à quoi cela peut servir, les explications suivantes devraient répondre à vos dernières interrogations. Bonne lecture de ce nouvel article dédié à la suite Topaz.
Continuer à lire « Topaz Gigapixel AI, le logiciel qui voit grand ! »
Aujourd’hui, nous allons parler de Topaz Sharpen AI, l’affineur d’images dopé à l’intelligence artificielle, le logiciel qui vous permet d’améliorer naturellement la netteté de vos photos sans y ajouter d’artefacts. Avec lui s’en est fini (ou presque…) des flous. Nous allons voir dans cet article si la promesse de Topaz est tenue.
Continuer à lire « Topaz Sharpen AI et tout devient net ! »
Dans un article précédent, je vous parlais d’un utilitaire très performant et je vous annonçais un article le concernant. Je vais aller plus loin et vous proposer une série de trois articles. Chacun sera consacré à un utilitaire de la suite de Topaz Labs. Le premier, celui que nous allons découvrir aujourd’hui, est destiné à réduire le bruit numérique de vos photos. Il a pour nom Topaz DeNoise AI et fonctionne grâce à l’intelligence artificielle. Les deux articles suivants seront consacrés à Topaz Sharpen AI (un logiciel qui rendra nettes vos photos floues) puis Topaz Gigapixel AI (qui vous permettra de faire passer une photo de 12 millions de pixels à plus de 40 millions de pixels sans perte de qualité et même parfois en améliorant l’image initiale).
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