Cet article préliminaire et ceux qui suivront sont destinés à mes amis photographes mais aussi aux personnes désireuses de passer leurs vacances au Costa Rica. C’est un véritable carnet de voyage que je vous propose, en plusieurs actes, avec le ressenti des membres de notre groupe (nous partons à 7 adultes). J’espère qu’il sera utile aux voyageurs et qu’il fera passer de bons moments aux photographes.
Le départ de San Isidro annonce aussi la fin du voyage. Ce matin nous quittons la Cordillière Centrale pour rejoindre Alajuela et nous rapprocher de l’aéroport… La restitution des 4×4 devant avoir lieu à 17 heures, nous allons flâner le long de la transaméricaine, aussi appelée panaméricaine.
Un petit saut de puce d’une quarantaine de kilomètres et nous voilà installés à Dominical. Nous avons jeté l’ancre à l’Hacienda Baru, un complexe touristique qui dispose d’un parc privé ainsi que d’un jardin de fleurs abondamment pourvu en papillons. Les opportunités photographiques vont encore être nombreuses et variées…
Cette ville est située dans la province de Puntarenas, à l’extrémité de la chaine montagneuse qui constitue la colonne vertébrale du Costa Rica. En raison de son altitude, Monteverde est entourée de forêts, de brouillard et de plantations de café. La ville de Santa Elena, petite et pittoresque, offre aux touristes de délicieux restaurants ainsi que de nombreuses boutiques artisanales, tandis que la forêt tropicale à proximité accueille une biodiversité remarquable.
07h30: petit déjeuner au Mawamba Lodge de Tortuguero, puis transfert vers Guapiles. Nous quittons à regret cette magnifique région bordant la côte caraïbe. Tortuguero est un endroit incontournable pour les passionnés de photographie nature que nous sommes. La nature en question s’est montrée très clémente envers nous ; en effet, il a plu toutes les nuits, laissant de belles journées ensoleillées pour la pratique de la photographie.
Deuxième Jour, en route vers Tortuguero…
Départ de Toulouse: 06h20
Départ de Madrid: 11h40
Arrivée San-José : 15h40 (heure locale)
Le jour tant attendu est enfin arrivé. Annoncé pour 5 heures, le blocage de l’aéroport de Toulouse-Blagnac par les chauffeurs de taxi, nous a obligé à avancer l’heure de départ à minuit. Autant vous dire que la nuit a été courte. Roland vient d’arriver, nous chargeons nos bagages dans son trafic avant de prendre la route pour l’Aéroport de Toulouse. Un vol plus tard, nous voilà foulant le sol madrilène. Nous quittons le Terminal 4 pour rejoindre le 4S à l’aide d’un train automatique (départ toutes les 3 minutes et 3 minutes de trajet). Puis vient enfin le moment de l’embarquement et du décollage. Cette fois-ci, c’est vraiment parti… En route vers la Pura Vida comme disent les Costaricains, mais avant cela il va falloir ronger son frein pendant 11 heures dans l’avion…
Emotions numériques 